Animes saison automne 2012

Déjà trop froid pour mettre le nez dehors ? Rassurez-vous pleins d'animes arrivent pour vous réchauffer (ou pas).


Shin Sekai Yori

Saki, la protagoniste, ainsi que ses quatre amis Satoru, Maria, Mamoru et Shun vivent dans un village que l'on pourrait décrire comme utopique bien que ressemblant au Japon féodal alors que l'on est supposé être un millénaire dans le futur. Les Hommes ne sont plus tout à fait pareils car ils sont désormais capables de télékinésie. Saki vient tout juste de s'éveiller à sa condition et rejoint enfin ses amis à "l'école" pour pratiquer ses pouvoirs. Néanmoins une part d'ombre rôde dans cette nouvelle société à commencer par ses origines.

Comme il se doit (?) la saison d'automne commence avec un thriller/horreur. L'atmosphère de la série se veut particulièrement oppressante avec des teintes très ocres qui contrastent avec l'aspect bucolique qu'est sensé avoir cette utopie. En tant que téléspectateur vous avez déjà quelques longueurs d'avances sur les héros concernant ce qui trame au sein de cette société mais pas tant que ça. Par contre la série vous submerge avec pleins de nouveaux termes et concepts sans trop prendre le temps de vous les expliquer donc mieux vaut être accroché.

Tonari no Kaibutsu-kun

Voici l'histoire d'amour peu banale d'un couple de lycéens peu banals. Shizuku est insensible au possible et se concentre uniquement sur ses études. De son côté Haru est un grand candide doté d'une force herculéenne et d'une intelligence dépassant celle de Shizuku pour son plus grand déplaisir. Mais pour la première fois de sa vie son cœur a palpité lorsque ce garçon lui  ouvert le sien (de manière banale).

Le grand classique des contraires qui s'attirent. Le premier épisode ne s'épargne pas en besogne et nous laisse avec le couple déjà quasi-formé même si les finitions restent à faire. Sans doutes que d'autres personnages viendront agrémenter le récit. L'animation et les décors sont particulièrement pauvre pour cette production mais le dessin reste correct sans plus. A voir pour passer le temps.

Wooser no Sono Higurashi

Ce court anime en 3D nous invite à suivre les tribulations, de Wooser, une étrange créature attiré par l'argent, les filles ou encore la ripaille.

Chuunibyou demo Koi ga Shitai!

La "chuunibyou" est le nom donné à une forme de crise d'adolescence durant laquelle l'ado s'invente une alter-ego grandiose et super-natuel et ne vit plus que par le prisme de cette illusion. Notre héros, Yuuta ~Dark Flame Master~, était gravement atteint dans ses années collège mais il a décidé de renoncer à tout ça pour sa nouvelle vie de lycéen. Mais comme un fumeur en cours de sevrage, tout lui rappelle son addiction en particulier sa nouvelle camarade de classe, et voisine, Rikka, complètement obnubilée par ses désillusions.

Alors que tout le monde attendait le studio Kyoto Animation au tournant pour l'adaptation de Little Busters (chez J.C. Staff finalement), c'est avec ce titre assez inconnu que la société kyotoïte enchaine après Hyouka. On sent la patte du fameux studio réputé pour son animation d'horloger, c'est vraiment impeccable. Maintenant reste à savoir si le sujet va s'avérer suffisamment intéressant. En tout cas ce premier épisode est bien plus prometteur que le mini-épisode preview sorti auparavant.

Litchi DE Hikari Club

Quiconque a un peu de culture sur ce manga au nom rigolo sait qu'il commence en farce et se termine en boucherie. Aussi l'idée de voir ça animé me faisait quelque peu froid dans le dos. Heureusement il s'agit d'une adaptation "humoristique" alors ça devrait aller.

A noter que le manga en question est édité en France aux éditions IMHO.

Kamisama Hajimemashita

Nanami aimait bien son ancienne vie, celle d'avant que son père soit criblé de dettes de jeu et s'enfuie de la maison, celle d'avant qu'elle soit expulsée de son appartement. Dans des situations aussi dramatique c'est le moment pour une divinité d'intervenir et c'est qu'il se passa... ou presque. En effet Nanami se voit confier la déité d'un temple shinto où réside notamment un démon-renard prénommé Tomoe. D'abord hostile face à la lycéenne, cette dernière parviendra néanmoins à regagner son contrat de servitude.

Bizarrement j'ai l'impression d'avoir un peu trop souvent vu ce scénario ces derniers temps. Par ailleurs la quantité de beaux gosses que nous promet le générique indique clairement que je ne suis pas la bonne démographie pour cette œuvre ouf

Zetsuen no Tempest

"Rien n'a de sens" une phrase souvent répétée dans ce premier épisode et qui rend compte de la difficulté d'en écrire un résumé. Donc on a Yoshino, un relativement efféminé lycéen et son pote Mahiro ainsi que la sœur de ce dernier Aiko qui semble ne pas trop aimer Yoshino. Sauf qu'en fait ils sortent ensemble. Ou plutôt sortaient ensemble vu que Aika a été tuée un an auparavant et maintenant c'est Mahiro qui a disparu depuis un mois. Entre temps Hakaze, est abandonnée sur une île déserte par son méchant de frère. Ce dernier met en œuvre son plan d'utiliser une maladie magique transformant les gens en métal afin de réveiller une puissance en sommeil. Mais Hakaze, auto-consacrée la plus puissante magicienne au monde ne s'avoue pas vaincue et parvient à passer un pacte avec Mahiro dans l'espoir que la magicienne lui indique qui sont les meurtriers de sa sœur. Sur ces entrefaites Mahiro et Yoshino sont de nouveau réunit alors que la maladie est une nouvelle fois invoquée.

Assez difficile de recoller les morceaux dans cette densité d'informations combinée à des scènes de castagnes et d'autres d'introspections ou encore celles narrant les belles courbes de Hakaze... L'animation est plus que correcte par contre le chara-design semble un peu à côté compte tenu de l'aspect batailles magiques vers lesquelles semblent se diriger l'anime. Le spectre du BL semble aussi rôder.

K

Et dire que je me plaignais que l'anime ci-dessus était bordélique, c'était rien du tout en comparaison de celui-là. Difficile de tirer quoi que ce soit de cet épisode qui nous proposes des combats résolus hors caméra, des scènes de poursuites menant nulle part et un protagoniste plus débonnaire que ça tu meurs. Le motto semblant être que tout sera expliqué plus tard pour le moment place aux scènes spectaculaires. Et c'est vrai qu'il y a des scènes particulièrement bien animées et inventives mais bon j'aurai aimé avoir un peu de substance quand même.

Btooom!

Btooom! est le nom du dernier FPS en ligne à la mode. Son originalité vient du fait que les seules armes disponibles sont des bombes. Ryuuta est un joueur compulsif qui vient juste d'atteindre le top 10 mondial, son rêve est de pouvoir travailler pour la société qui développe Btooom! mais en attendant il ne fait rien à part jouer. C'est alors qu'il se réveille sur une île déserte sans aucun souvenirs de ce qu'il fait là ni pourquoi. Néanmoins l'île ne s'avère pas si déserte que ça lorsque quelqu'un tente de l'attaquer avec des bombes comme dans Btooom!

Dans la lignée des jeux de massacres façon Mirai Nikki, voila un anime qui s'annonce fun à regarder. A noter que le manga est publié en France.

JoJo's Bizarre Adventure

JoJo's Bizarre Adventure est ce qu'on appelle un classique. Et comme tout les classiques, vous en avez sûrement sans doute entendu parlé mais jamais lu/vu pour autant (à commencer par moi). Bonne nouvelle, pour fêter les 25 ans du manga ce nouvel anime retracera tout l'ensemble de l'histoire de la famille Jostar et Dio Brando depuis le début (on rappellera que les seules OAV existantes se focalisaient uniquement sur la partie 3 du manga).

L'animation est plutôt fluctuante et certains plans vraiment bizarre (mais là c'est plus un hommage au style très particulier du manga). Ce qui me turlupine par contre c'est le chara-design des personnages qui tend à se rapprocher de celui de Ken le Survivant (comme les OAV) mais pas vraiment au final ce qui laisse le dessin un peu maigre.

Onii-chan Dakedo Ai Sae Areba Kankeinai yo ne

Akiko est maintenant une lycéenne et rejoint son frère jumeau, Akito, qu'elle n'a pas vu depuis six ans et qui tient maintenant un dortoir pour filles. Tout irait bien sauf que Akiko annonce ouvertement vouloir faire de son frère son amant (bien qu'il soit pas d'accord). Et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, trois nouvelles pensionnaires arrivent et ont toutes des vues sur notre pauvre héros. Akito parviendrait-il à garder sa virginité intacte ? Vous le saurez au prochain épisode.

Encore une série à l'humour très particulier et dont on peut dénoter une certaine augmentation ces derniers temps (bien que généralement entre demi-frères et sœurs). Certains ont avancé le fait que la baisse de natalité et l'augmentation des familles recomposées rendent ces situations plus que jamais vraisemblables au quotidien mais il est possible aussi que ce soit juste un effet de mode.

Juusen Battle Monsuno

Notre protagoniste (dont je n'ai pas retenu le nom) part à la recherche de son père en pleine jungle accompagné de ses deux meilleurs amis qui n'ont rien d'autre à faire je suppose. Arrivé au centre de recherche où est censé se trouver le disparu, nos amis ne trouvent qu'une étrange capsule qui s'avère renfermer un ADN d'origine extra-terrestre et qui est capable de fusionner avec d'autre ADN pour donner de nouvelles créatures. Sur ces entrefaites, l'armée privée STORM arrivent sur les lieux et tentent de récupérer le précieux objets mais nos amis ne l'entendent pas de cette oreille. Et pendant ce temps une autre organisation (tout de rouge vêtu) se rie de leur futurs méfaits.

Ce résumé ne le montre pas mais il s'agit d'un énième pokémon avec des animaux mutants qui s'entrechoquent, les capsules cylindriques ayant remplacés les pokéballs. En co-production avec les Etats-Unis pour 52 épisodes (rien que ça !) je peux voir comment a été distribué le budget en limitant au maximum le chara-design et l'animation. Mais même sans ça c'est surtout la mise en scène qui me fait grincer des dents, tout sonne tellement forcé et mal fichu qu'on dirait d'emblée une série abrégée. Les pauvres gosses qui vont regarder ça...

Little Busters!

Les "Little Busters!" est un groupe de cinq garçons et filles qui se connaissent depuis tout petits et toujours fourrés dans les pires coups. Cependant avec l a fin des années lycée qui approchent, leurs routes vont bientôt se séparer... Dans la grande tradition de leurs plans foireux, Kyousuke décide monter une équipe de baseball pour marquer le coup et charge sa sœur Rin d'aller recruter les membres manquants.

Voila donc THE blockbuster de l'année que tout le monde attendait au tournant et je dois dire que je ne suis poil déçu. Tout le monde pensait que ce titre des studios Visuel Key allait être adapté par KyoAni comme les précédents qui sont tous devenu des chefs-d’œuvres mais finalement c'est le studio J.C. Staff qui se retrouve aux rennes aussi fatalement la comparaison entre les deux styles de production est inévitable même si c'est un peu injuste de ne pas laisser sa chance aux autres. L'animation et le chara-design sont surtout ce qui peut choquer à ce niveau-là, et malheureusement pas en faveur de J.C. Staff. Je n'ai pas lu le Visual Novel dont est tiré cet anime (bien que je connaisses les grandes lignes) et je dois dire que ce premier épisode pose bien ses bases tout en offrant pas mal de gags et autres situations burlesques. Loin d'être un catastrophe mais loin d'être au niveau de ce que les fans attendent depuis des années, je dirais qu'il ne faut pas jeter la pierre tout de suite à J.C. Staff (après tout ils ont bien produit les excellents blockbuster To Aru Majutsu No Index, Shakugan no Shana, etc.). Qui vivra verra.

Sukitte ii na yo

Mei est ce qu'on pourrait appeler une solitaire, depuis ses seize ans d'existence elle ne s'est fait aucun ami encore moins de petit-ami. De son côté Yamato est classé comme le beau gosse du bahut mais semble peu intéressé par la horde de filles qui gravitent autour de lui. Néanmoins cela change lorsque Mei lui colle un high-kick dans la figure suite à un malentendu. Les choses se précipitent lorsque pour tirer Mei des griffes d'un stalker Yamato lui vole son premier baiser.

Kya revoilà un shojo qui pointe le bout de son nez. Je veux dire ils ont même recyclé la scène du lapin mourrut déjà vu dans Tonari no Kaibutsu-kun (voir plus haut). La réalisation technique est néanmoins supérieur à ce dernier.

Girls und panzer

Imaginez que la conduite de char d'assaut soit devenu un art martial pratiqué uniquement par les femmes. Miho était justement venu dans le lycée d'Ooarai pour oublier son passé avec les tanks mais la coupe du monde de blindés qui aura lieu au Japon cette année force le conseil des élèves à ressusciter les cours de panzers. Alors que Miho venait tout juste de se faire ses premières amies la voila forcée de participer à ces cours sous la menace d'exclusion fomentée par le despotique conseil des élèves.

Après "filles et flingues", le genre "filles et tanks" serait-il en train de naître. Quoi qu'il en soit je suis plutôt surpris par ce premier épisode. Avec un topic pareil je m'attendais à une grande bouffonnerie mais il n'en est rien. La série se veut plutôt sérieuse mettant l'emphase sur Miho et sa volonté de ne pas céder et revivre un passé que l'on devine traumatique... Même si au final elle finit par accepter (sinon pas de série mmmh). Par contre ces tanks en 3D me décollent la rétine...

Ixion Saga DT

Kon aime bien jouer au MMORPG bien qu'il ne soit pas très doué à ça. Un jour il est abordé sur le chat par une charmante jeune fille qui lui demande de l'aide IRL. Emballé, le jeune garçon accepte et aussitôt dit aussitôt fait, le voila téléporté dans un autre monde où il fait la rencontre d'un bretteur baraqué, d'un travestit pistolero et d'une princesse revêche de huit ans. Cette dernière est en danger lorsqu'une troupe armée tente de s'opposer à son mariage.

Apparemment c'est l'adaptation d'un jeu vidéo de Capcom dont je n'ai pas entendu parlé donc je ne peux juger sur cet angle-là. Une épopée un peu mou du genou je dois dire, pas forcement mal réalisée (mais pas très bien non plus) mais un sujet plus que rebattu.

Magi

Ali Baba fait un jour la rencontre d'un jeune gamin nommé Aladdin qui lui cause pas mal de soucis. Essentiellement parce qu'Aladdin agit comme un jeune candide dans ce monde où règne argent, esclavage et accessoirement monstres mythiques. Dans ce monde se trouve également des Dungeon, des tours renfermant des trésors et notamment des djinns mais dont personne n'a jamais réussit à ressortir vivant. Et un djinn c'est notamment ce que possède Aladdin en plus de pouvoirs magiques.

Empruntant aux 1001 nuits se laisse suivre avec fraîcheur et entrain. A noter que le manga est publié en France.

Teekyuu

Un anime court à propos de filles jouant plus ou moins au tennis. Si vous aimez le style déjanté sans queue ni tête ce sera pour vous sinon passez votre chemin.

Aikatsu

Le système Aikatsu permet aux jeunes filles de se transformer en idoles afin qu'elles puissent faire leur travail (essentiellement chanter et faire les belles). Impressionnée par l'idole Mitsuki Kanzaki, Ichigo et son amie Aoi tentent l'examen d'entrée de la Starlight Academy, l'école pour idole.

Développé avec Bandai pour promouvoir son jeu d'arcade basé sur des cartes à jouer (le système Aikatsu) cet anime fait un peu peur avec son univers à paillette et ses horribles séquences CGI lorsque les héroïnes sont transformées dont le rendu semble avoir été généré 10 ans auparavant. Qu'est-ce qu'ils font regarder aux petites filles de nos jours j'vous jures...

Sakurasou no Pet na Kanojo

Pour Sorata la vie lycéenne c'est beaucoup animé depuis qu'il a été obligé de déménager à Sakurasou, le dortoir pour les "cas" de son lycée (comprendre tous les génies socialement inadaptés). Bref quasiment l'asile de fou et en plus une nouvelle résidente, prénommée Shiina, fait son entrée. Il s'avère que Shiina est complètement impotente dans la prise de décision, même au quotidien, de fait Sorata doit devenir son "maître" et lui dire tout ce qu'elle doit faire.

Comédie romantique ecchi nous revoilà. La réalisation est correcte et les personnages diablement impactant. Ça donne envie de continuer à regarder.

Aoi Sekai no Chuushin de

Dans le monde de Consome, le royaume de Segua et l'empire de Ninteldo se battent depuis des lustres pour la suprématie. Alors que Segua est sur le déclin un garçon nommé Gear apparaît, se targuant d'être l'homme le plus rapide au monde.

Si vous avez l'impression de lire une mauvaise fanfiction datant de l'ère de la guerre des consoles entre Nintendo et Sega c'est parce que le propos à demi-avoué. Je ne sais pas si ce premier épisode suit fidèlement le manga d'origine mais les personnages sont particulièrement 2D ici. Et la réalisation plus que médiocre n'aide pas beaucoup à s'attacher à notre héros/hérisson bleu.

Code: Breaker

En rentrant chez elle, Sakura Sakurakouji aperçoit des gens être consumés par une étrange flamme bleue mais lorsqu'elle se rend sur place plus rien ne subsiste à part quelques cendres. Quelle n'est pas sa surprise lorsque Rei Ôgami, un nouvel élève, arrive dans sa classe le lendemain et ressemble à l'étrange pyromane. Une confrontation avec le gang des G-Falcon et Sakura la nuit même lève le doute lorsque Rei consumes les voyous, appliquant la loi du talion.

Code: Breaker est édité depuis quelque temps en France et je m'y étais intéressé avant d'être blasé d'ennui. Ceci étant je vais donc faire l'impasse sur cet anime également. Néanmoins la réalisation et le chara-design sont solides donc si vous aimez bien les beau-gosses mystérieux cet anime sera pour vous assurément.

Robotics;Notes

2019, Akiho et Kaito sont les deux derniers membres du club de robotique du lycée bien que ce dernier soit plus passionné par le jeu de combat Kill Ballad. L'objectif du club de robotique est de donner vie au robot géant Gunvarrel en hommage à un robot apparu dans un anime légendaire. Du moins si ils arrivent à récupérer des sous et des membres...

Troisième volet des aventures scientifiques de la société Nitroplus (après Chaos;Head et Steins;Gate), l'univers futuriste se veut néanmoins réalistique, annonçant l'hégémonie des tablettes sur nos mobiles actuels. Par contre la trame narrative suit elle le très classique "protagonistes devant trouver des membres/fonds/idées/résultats pour sauver le club". Ce premier épisode traine un peu en longueur d'ailleurs même si on peut du coup mieux apprécier la qualité graphique.

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2 Commentaires

  • Je parierais que tu n'as même pas encore tout vu ou pas encore tout chroniqué wink

    Spoiler (Sélectionnez le texte dans le cadre pointillé pour le faire apparaître)

    Je peux me permettre une question légèrement indiscrète ? Est-ce que pour toi l'informatique c'est principalement alimentaire ? Ou bien est-ce que tu es déçu par l'évolution des langages informatiques qui, où qu'elle aille, ne fera pas la part belle ni au style Delphi ni à l'héritage de Niklaus Wirth ? Ou bien est-ce que tu regrettes la professionnalisation et l'orientation vers des modèles d'inspiration mathématique ? À première vue c'est ce que donnent à penser tes loisirs. Et dans tous les cas je peux comprendre wink

    • Non effectivement je n'ai pas encore tout vu ni tout chroniqué essentiellement parce que tout n'est pas encore sortit. Typiquement aujourd'hui j'ai quatre nouvelles séries qui m'attendent.

      Spoiler (Sélectionnez le texte dans le cadre pointillé pour le faire apparaître)

      Les gens sont constitués de travail alimentaire et de passions. Dans mon entreprises, certains sont à fond dans les motos, d'autres sont fans de sports et d'autre s'abreuvent de nouvelles technologiques et de sciences informatiques. Ce dernier exemple te prouve que tu peux très bien allier passion et travail. Dans mon cas même, je ne peux pas dire que l'informatique soit ma passion (ce qui me rend la tâche un peu compliqué pour te répondre) néanmoins j'aime cet aspect création et donner vie à ces lignes de codes, du coup même sans être une passion je ne considère pas mon travail comme aliénant.

      Partant de ce postulat il m'est difficile de te répondre au sujet de mes regrets étant donné que ce n'est pas une de mes passions. Le seul regret auquel je pense au vu de mon expérience Delphi puis .NET c'est l'aspect cloisonnement qu'impliquent ces langages managés qui sont à la mode. De fait on ne peut plus vraiment travailler avec le langage qui nous plaît le plus à cause de ce manque croissant de ponts et d'ouverture vers les autres. Évidemment tu peux voir les corporations à l’œuvre derrière ces langages pour te forcer ( =payer) à utiliser le leur et c'est bien triste.

  • Aka a écrit :

    Wooser no Sono Higurashi

    Ce court anime en 3D nous invite à suivre les tribulations, de Wooser, une étrange créateur attiré par l'argent, les filles ou encore la ripaille.

    Il y a un truc qui m'a éccorché l'oreille : une créateur.

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