Animes saison été 2011 - Ikoku Meiro No Croisée

Premières impressions sur Ikoku Meiro No Croisée


Paris, milieu du XIXème siècle, grand-père Oscar reviens d'un voyage au Japon avec dans ses bagages une petite fille japonaise toute mignonne (et détonante) dans son kimono. Il informe son petit-fils Claude, qui tient la boutique familiale, que Yune sera leur nouvelle bonne (!).

Claude, qui n'a pas envie de soudoyer l'inspection du travail des mineurs ni de passer pour le nouveau pedobear sur 4chan (qui existera que dans 200ans smile ) voit d'un mauvais œil cette arrivée. Quoi qu'il en soit Yume s'applique avec toute l'ardeur japonaise à son nouveau travail tout en s'émerveillant des créations en fer forgé de Claude. Malheureusement le kimono s'avère ne pas être la tenue de travail idéale pour le ménage et une des manches de Yune s'accroche à une enseigne qui vole en éclat. Dans un acte de contrition très nippon, Yune convainc Claude de vendre l'un de ses kinomo en guise de réparation, et sans le savoir vend le précieux kimono de sa mère (défunte ?) qui faisait office de mémento. Pleins de remords en apprenant la vérité, Claude décide de se montrer plus aimable envers la petite et promet de récupérer le kimono un jour.

Gosick, So Ra No Wo To ou encore Zero no Tsukaima, ces dernières années la langue de Molière est à la mode, la série se payant même le luxe d'avoir un vrai narrateur français. On notera également que l'auteur du manga dont l'anime est basé est également l'illustratrice de Gosick, les chara-design des deux animes ont d'ailleurs une certaines ressemble bien que pas produit par les mêmes studios.

Impressions : MOE ! Yune est trop mignonne, pétrie de maniérismes et de morale japonaise elle symbolise le choc des cultures avec la France. On peut quand même se demander quel a été le deal entre le grand-père et la famille de Yune pour autoriser cette dernière à venir à Paris mais bon. Voyons où l'auteur va nous mener.

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