Europa Universalis III - Partie Test France

Mon objectif à court terme était d'unifier les ducs et les comtes sous la seule bannière du Roi de France. C'était d'ailleurs la mission que l'on m'avait confiée en premier lieu : annexer le duché d'Orléans, qui était vassal de France.

Une France divisée en Europe
Si les vassaux étaient absorbés par la couronne de France, celle-ci serait plus forte

Néanmoins, la centralisation apporte ses problèmes : une armée de rebelles se forma, menée par le nobliau Jean de Saint Germain, qui en fourbe s'était autoproclamé Jean III Germain, et menait le siège du Limousin.

Aussitôt, j'envoyai mon armée, dirigée par le général Jean II le Meingre, écraser ce traître, ce qu'il fit sans problème. Les fuyards furent rattrapés quelques jours plus tard avant d'être exterminés.

Afin de renforcer ma puissance, je m'attaquai d'abord à mon économie. La place financière en Île-de-France, qui accueillait déjà deux marchands Français, se vit renforcer autant qu'il le fallait afin d'en être à la tête. Dans l'immédiat, cela coûte de l'argent mais sur le long terme, cela se voit payant grâce aux rentrées financières annuelles, et complétait les rentrées d'argent dues à ma meilleure stabilité.

Dans le même temps, je nouai des alliances avec plusieurs de mes vassaux, afin d'être sûr qu'ils seraient à mes côtés si je venais à entrer en guerre. En temps que vassaux, ils ne peuvent refuser.

Enfin, j'entérinai un mariage royal avec le duché d'Orléans, ultime étape pour une annexion pacifique du vassal.

En revanche, je n'avais pratiquement plus de diplomate à envoyer, il ne m'en restait plus qu'un. Or, s'il était vrai que je devais finir de nouer des alliances avec mes vassaux, je découvris que le Royaume de Navarre était entré en guerre contre Aragon, qui avait certainement cherché à le vassaliser, voire à le conquérir. Or je constatai qu'Aragon n'avait pas une armée très importante comparée à la mienne, et il serait à ce moment-là intéressant pour la France d'affaiblir un rival voisin, et de prendre une province ou deux dans le même temps. Je vérifiais tout de même quels étaient ses alliés : le Royaume de Savoie et la Sicile. Pas de problème, puisque le premier, bien qu'étant mon voisin, ne disposait pas d'une force conséquente, et que la seconde ne ferait que de petits débarquements de 2000 hommes dans le pire des cas sur les côtes françaises, pas assez pour pouvoir gagner un siège sur une province.

J'utilisais donc cet ultime diplomate pour nouer une alliance avec Navarre, qui s'empressa aussitôt d'accepter et de requérir mon entrée en guerre. C'était le casus belli dont j'avais besoin, et me voilà aussitôt ennemi avec Aragon.

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