Luminox

Qui bibit, dormit; qui dormit, non peccat; qui non peccat, sanctus est; ergo, qui bibit sanctus est.
BONJOUR!

Ceci est mon profil, je vous serais reconnaissant de vous essuyer les portes sur le palier de avant d'ouvrir les pieds.

A titre d'information, le spoiler suivant cache un résumé des activités et des anciennes présentations de mon profil qui s'est dégradé au fur et à mesure que je l'ai écrit.

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SPOILERCEPTION! Haha! Comme on doit s'poiler chez vous... s'poiler... mais siii... spoiler enfin... haa...

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Ne joue plus à Starcraft, ni à rien du tout d'ailleurs, pour des raisons tristes et ennuyeuses comme l'absence actuelle d'ordinateur performant, un trop grand nombre d'occupations de type travail/études, et un très grand succès auprès de nombreuses filles folles de mon corps.

Ancien organisateur officiel de l'Aerie's Cup qui aurait pu être vue ici, et fier d'y avoir participé.

Anciennement assez fou pour tenter d'organiser en même temps un playthrough de Jedi knight: Jedi Academy à raison d'un niveau par semaine (l'imbécile), ce qui s'est soldé par trois épisodes en tout dont un potable et deux publiés (il n'y a pas d'intersection entre ces deux ensembles).


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Un grand tournant s'est effectué dans la vie du petit Luminox. En effet, il est devenu moins petit que d'habitude, et c'est déjà une grande chose. Il s'est également mis à parler de lui à la troisième personne, et n'a que faire des accusations de folie qu'on pourrait lui jeter à la figure.

Quelle différence dans la posture de cet être étonnant qui, en 7 ans de membership sur ce forum, n'avait jamais changé d'avatar, à l'instar d'Ertaï jusqu'à ce qu'il se dote de lunettes de soleil, ou du Bashar qui avait tout de même un .gif dont il ne reste que l'image bouche close? Que de tension! De terreur et de joies promises! Que d'impatience jusqu'à la révélation!

La révélation, chers lecteurs, est toute simple. La révélation, en effet, c'est qu'il l'a vécue lui-même, un beau jour de novembre, lorsqu'il fit la découverte nocturne de cette chose magnifique qu'est le discordianisme. En effet, le petit séraphin qui jusque-là avait vécu dans l'athéisme le plus complet, reniant sa propre nature de créature céleste, seul, triste, bafoué par les plus petits des êtres, par les lépreux, les rats, pire même, les adolescents boutonneux qui traînaient sur le forum, oui, ce petit personnage triste a vu la lumière.

Et bordel, quand on s'les gèle dehors, ça fait du bien de rentrer se cramer les c****. 

Maintenant Grand Pape de l'église du discordianisme (qui n'est pas une église) recherchant des fidèles pour vénérer Eris (qui n'est pas vénérienne) afin d'étendre la bonne parole (qui n'est pas une parole) et révéler aux infidèles la vérité ("Même les choses fausses sont vraies"), il parcourt la terre avec son stand de hot-dogs sacrés qu'il n'a pas le droit de manger, sauf le vendredi pour insulter toutes les religions, y compris la sienne, comme le veut la coutume sacrée énoncée dans le Principia Discordia par Malaclypse le Jeune.

Et si vous n'êtes pas convaincus, rappelez-vous que le discordianisme est la seule religion qui considère le freepost comme un acte religieux, la dérision comme un sacrement, et le sacrement comme une dérision.

Pour toute information complémentaire, une seule adresse (anglophone) : http://www.principiadiscordia.com/

 

Eh bien oui, c'est moi, l'angelot au nombre d'ailes toujours plus indéfinissable: parfois c'est pair, parfois c'est impair, parfois c'est un entier naturel et parfois c'est un irrationnel transcendant, parfois c'est un réel et parfois un imaginaire pur, bref, la seule chose qu'on peut déduire de ces précédentes affirmations c'est que déterminer la quantité de plumes que je possède est nécessairement complexe.

Continuant son parcours dans la vie, plein de rebondissements (à la manière du ventre de Bibendum), le séraphin discordien daigne accorder une nouvelle fois au Refuge l'honneur de sa présence, et ça, c'est quand même un petit quelque chose qui fait chaud au coeur et froid dans le dos.

Afin d'éviter toute fluxion de vos pauvres yeux endoloris, je cesse ici mon discours autotélique et je vous recommande chaudement mon prochain guide sur les étirements oculaires, pour que vos paupières ne soient pas lourdes, louuuurdes demain matin et à travers la journée.

Voilà, c'était l'édit de la présentation du jour. Vous venez de gagner un cookie:

Nouvelle démarque! -50% sur les spoilers, de quoi en trouver deux fois plus que les deux fois plus d'avant!

Comment bien étirer ses yeux: les didacticiels TMTS.

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Tout d'abord, avant d'étirer une quelconque partie du corps, il est préférable d'être moyennement échauffé pour ne pas se blesser en réalisant un mouvement d'une trop grande amplitude. Il faudrait toutefois éviter de vous étirer juste après l'effort parce que les fibres musculaires, fragilisées par des micro-ruptures, sont alors à leur stade le plus fragile: patientez donc une demie-heure après tout type d'effort avant de réaliser vos étirements.

Pour bien étirer vos yeux, commencez par fixer un point quelconque dans l'espace: une tache de fromage sur le mur ou la paire de seins de votre voisine sont de bons exemples. Regardez pendant une dizaine de secondes, après quoi, fermez un oeil, et conservez la position pendant une vingtaine de secondes: vous devriez sentir la tension quitter vos paupières. Répétez l'exercice avec l'autre paupière. Une fois cette étape finie, clignez des yeux quelques fois pour éliminer les derniers résidus et passez au prochain exercice.

Reprenez un point fixe quelconque dans l'espace, de préférence le même, à moins que pour vous déplaire votre voisine n'ait mangé le fromage sur le mur vous privant à fois du fromage et de ses nibards. Si c'est le cas, fixez le panneau qui vous traite d'affreux pervers, puis tentez, lentement, de regarder à travers lui. Si vous réussissez l'exercice, vous devriez voir deux panneaux qui se séparent l'un de l'autre; sinon, ne forcez pas trop afin d'éviter les lésions. Il peut être conseillé, pour cet exercice, de fixer les bords de l'objet en question, de façon à faciliter le changement de focalisation de vos pupilles. Tenez quinze secondes et passez à l'exercice suivant.

En repassant par la position initiale, essayez de regarder votre nez: cet exercice, que d'aucun nomment "louche", permet d'évacuer tout le stress accumulé dans les muscles oculaires latéraux et dans la pupille. Regardez au plus près de votre nez: si vous réussissez à en faire se rejoindre les deux images respectives, vous avez réussi l'exercice. Tenez la position une vingtaine de secondes, puis relâchez doucement. Répétez la série d'exercice deux fois en terminant par une séance de clôture de paupières d'une minute pour être bien sûr d'avoir éliminé toute la fatigue qui restait dans vos yeux. Une fois la séance terminée, n'oubliez pas de vous hydrater, de porter secours à votre voisine qui s'est empoisonnée avec votre fromage mural, et de mater ses nibards comme un gros pervers. Passez une bonne journée, et à bientôt avec les didacticiels TMTS.


Suit une petite histoire inspirée par le très inspirant "quartier libre" marqué comme base de profil pour tous.

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Quartier libre: un nom de code. Le capitaine l'utilisait toujours aux moments les plus tendus. Quartier libre, ça voulait dire: préparez-vous au pire. Soyez vigilants. Tout peut arriver. Ne prenez aucun risque. 
 Ca ne lui arrivait pas souvent de prononcer ces mots. Il fallait qu'il y ait une menace interne, il ne pouvait pas hurler "QUARTIER LIBRE!" en plein coeur des combats. Quand il le disait, c'était pour dire: il y a un espion parmi nous. Un espion du genre pouilleux, qui n'hésiterait pas à vous égorger dans vos toilettes, qui ne se ferait pas de souci pour vous trahir dans un moment de parfaite sécurité. Soyez vigilants. Soyez préparés.
 C'est ce qu'il a dit ce matin. "Les gars, vous avez fait un bon boulot. Je vous laisse quartier libre". Le sourire qui décorait son visage n'était qu'un leurre, au cas où l'espion aurait été moins informé qu'il ne l'aurait dû, et qu'il relâche son attention. Auquel cas il serait abattu sur-le-champ. 
 J'ai vécu la fureur des batailles, la chair brûlée, les os calcinés. Les prisons aussi, c'est indispensable pour aller sous les ordres du capitaine: la torture, évidemment, la perte d'un membre aussi. Les exécutions, j'en ai vu des centaines, j'en ai ordonné, j'en ai moi-même fait. Parfois, elles sont propres, décentes: une balle dans le coeur, un cadavre s'écroule, un corps se vide. Le plus souvent, ce sont des boucheries: une rangée, une rafale, et une bouillie de chair s'étale. Le capitaine a toujours préféré la deuxième solution. Et c'est ce qui est arrivé à l'espion ce matin. Si nous n'étions pas désensibilisés, je crois que nous aurions vomis nos tripes, le régiment et moi.

(pas de suite ni prochainement ni plus tard, ni jamais, ni quand que ce soit. Pas même avant.)

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